L'Hôtel Du Desert Ep 21 : Deux SœUrs

L'HÔTEL DU DESERT
EP 21 : Deux sœurs


Il y avait des filles comme ça qui aimaient bien rigoler. Elles s'amusaient avec les garçons, et quelquefois même y revenaient. Un peu plus tard dans la soirée le petite qui avait si bien taquiné Johnny revenait vers lui. La fête était finie, il avait retrouvé son calme et sa queue se balançait mollement entre ses cuisses.

– Tu sais que tu es vraiment sexy en bleu de travail … Lui disait elle en s'approchant.
– Ah non ! Tu ne vas pas recommencer ! Il m'a fallu un moment avant de me calmer …

Bien sûr à ce moment précis Johnny ne portait pas son bleu de travail mais c'est à cause de cela qu'elle l'avait remarqué. Avec son collègue, ils étaient les seuls à porter un vêtement dans la journée, et la petite nouvelle trouvait Johnny très sexy tout habillé avec sa tenue de travail.

La nuit était tombée, l'ambiance était calme et tout le monde semblait passer un bon moment. Là c'est Johnny qui a réagi le premier il attrapait la mains de la petite blonde et l'entraînait vers la plage.

– Tu veux prendre un bain de minuit ? Lui demandait elle.

Il ne répondait pas, il l'entraînait, il accélérait le pas et ils disparaissaient dans le noir en courant. Ils ne sont pas tout de suite allé jusqu'à la mer, Brice s'écroulait dans le sable, il connaissait bien les lieux maintenant et il y avait partout des coins ou des recoins tranquilles. Elle s'écroulait sur lui, il la recevait dans ses bras. Il bandait, prise de frénésie elle le couvrait de baiser, tout le corps y passait. Il la couvrait de caresses, les baisers arrivaient juste après.

Cette fois le petite n'avait pas envie de rigoler, enfin pas seulement, Johnny se retrouvait allongé sur le dos, elle le chevauchait, lui suçait la queue et pour finir s'asseyait dessus.

Elle sentait la queue de Johnny glisser doucement en elle, elle aimait les caresses qu'il lui prodiguait, sur les cuisses, sur le ventre plus doucement plus haut sur les seins.

Johnny y mettait toute sa douceur et toute sa force. Ses caresses étaient à la fois douces, fortes et fermes.

Nadia, je crois que j'avais oublié de vous donner son nom … Nadia donc se balançait d'avant en arrière avec lenteur, son mouvement était presque imperceptible, mais Johnny le ressentait bien. Sa queue douillettement installée au chaud était stimulée, caressée dans la partie la plus intime et la plus confortable de sa compagne.

Il gémissait de plaisir, Nadia en faisait de même et le mouvement qu'elle initiait devenait plus intense, plus ample. Johnny soulevait son bassin et le reposait avec lenteur. Personne n'était pressé d'en finir. Chacun laissait le plaisir monter.

Les seins de Nadia se balançait mais durcissaient également sous les caresses de Johnny. Quand elle se penchait en avant ses seins s'écrasaient contre la poitrine de Johnny et les deux amants ne faisaient plus de bruit, il s'embrassaient alors avec passion.

Johnny relevait le torse et repliait ses jambes en position du tailleur, Nadia refermais les siennes dans le dos de Johnny et les deux corps intimement mélangés se caressaient l'un l'autre. Les mains, les bras de l'un courraient sur le corps de l'autre toujours autant avec force qu'avec douceur, mais les gestes devenaient plus rapides.

C'est avec plus de vigueur que Johnny relevait et laissait retomber son bassin en s'appuyant sur ses jambes. Il se relevait de plus en plus fort pour finalement se retrouver à genoux. Nadia restait toujours accrochée à lui, ses bras fermement refermés autour du cou de Johnny. Lui retenait sa compagne contre lui, un bras dans son dos, une main sous ses fesses.

Il balançait alors son bassin d'avant en arrière, Nadia l'aidait, et sa queue glissait avec vitesse autant qu'avec délicatesse dans le sexe de sa compagne. Elle penchait la tête en arrière et laissait échapper des gémissements qui dénonçait leur présence et leur activité de loin, mais ils n'étaient pas les seuls et régulièrement des gémissements du même genre se faisaient entendre depuis d'autres buissons, d'autres recoins.

Il faut bien se dire que même si le camping n'organisait rien dans ce sens, c'était l'activité qui y était le plus pratiqué. Personne ne venait les déranger.

Johnny restait concentré, il était debout, une femme magnifique accrochée à lui et il lui faisait l'amour, il sentait frémir le corps chaud et tellement léger qu'il tenait dans ses bras. Il sentait sa douceur intime et quand il vibrait de plaisir il sentait son propre plaisir monter en lui. Brusquement il ne bougeait plus, il serrait Nadia fermement contre lui et avec des gestes très contrôlés il se mettait à genoux. Ils s'embrassaient, ils ne cessaient de s'embrasser. Avec le plus grand soin, Johnny déposait Nadia sur le dos, et avec la plus grande douceur il s'allongeait sur elle.

C'est avec tout son corps qui la caressait, c'est tout son corps à elle qu'il caressait et les gémissements de plaisir reprenaient. Ils reprenaient plus fort, Nadia perdait peu à peu le contrôle de ses gestes et surtout de ses cris. Johnny restait très concentré sur le plaisir qu'il lui donnait.

Il est comme ça Johnny, c'est pas pour rien que les filles y reviennent, les mecs aussi remarquez …

C'est seulement quand il sentait que Nadia avait atteint un haut niveau de plaisir, c'est seulement au moment ou il la sentait jouir dans ses bras qu'il cessait tout effort de se retenir et se laissait aller et c'est ensemble qu'ils vibraient, c'est ensemble qu'ils jouissaient …

Plus tard, un long moment plus tard, Johnny était allongé sur le dos, Nadia était blottie contre lui, ils se caressaient encore avec douceur tout en se remettant de leurs émotions.

Brusquement Nadia se relevait et prenant la main de Johnny elle l'entraînait vers la plage, quelques instants plus tard, ils plongeaient s'arrosaient et s'amusaient dans l'eau.

…

La saison avançait, elle avançait bien, tellement bien que la saison touristique allait prendre fin. Les jours devenaient plus courts, le soleil devenait plus bas et la lumière changeait.

Il y avait encore des journées magnifiques, la température baissait mais ce n'était que plus agréable, les grosses chaleurs étaient passées mais le climat restait très agréable. Ce n'était plus tout à fait la même clientèle. Il y avait beaucoup moins de monde et la fin du contrat de travail de Johnny et de Brice arrivait.

Le jour du départ arrivait. Ils faisaient le tour du camping pour saluer tous leurs camarades de travail. On leur donnait leur salaire, et c'est avec un petit pincement au cœur qu'ils reprenait la route du continent. Comme on le leur avait promis leur voiture avait été mise à l’abri. Ils la retrouvaient en parfait état et la preuve en est que Johnny est capable de faire des réparations qui tiennent la route, elle démarrait au premier coup.

C'est Brice qui qui a pris le volant en premier. Ils parlait de tous ces souvenirs, de tous ces moments qu'ils venaient de vivre. C'est sans même y penser que Brice prenait la route du désert, la route pour rentrer à la maison.

– Tu pars vers ou ? Lui demandait Johnny.
– Je ne sais pas, tu veux continuer le voyage ? Ça fait des mois qu'on est parti.

Le sourire s'effaçait un instant du visage de Johnny qui reprenait.

– Tu as peut être raison ! Mais on repartira en voyage une autre fois !
– Promis ! Lui répondait Brice.

Suivait un moment de silence …

– Tu vas retourné chez toi ? Demandait Johnny avec une petite voix.
– Je ne sais pas, j'ai pas vraiment d'endroit ou aller moi. Quand je suis parti j'avais rendu mon appartement … Mon boulot aussi …
– Tu sais tu peux rester, maman sera très heureuse de t’accueillir, on te trouvera une petite place, si tu veux je t'installerait une chambre rien que pour toi comme celle que je …

Johnny continuait comme ça pendant un long moment. Brice finissait par le regarder avec un large sourire.

– Tu veux que je reste ?
– Je m'entend bien avec toi et il n'y a personne de mon âge à l'hôtel …
– J'ai rien contre. Alors si tout le monde veut bien de moi...

Johnny gardait, à partir de ce moment, un sourire permanent. Il savait parfaitement que sa mère ne le chasserait pas, au contraire. L'année précédente il était resté pendant un long moment et il s'était fait accepté et apprécié de tout le monde. Y compris les clients.

Il y avait toutefois un petit pincement au niveau du cœur, ils avaient tous les deux un peu de tristesse, ils le savaient depuis le début, le voyage approchait de sa fin …

Ils auraient pu continuer le voyage, il leur restait de l'argent. En fait ils n'avaient pas parlé de rentrer, Brice avait pris cette direction sans même y penser, il était peut être fatigué de se déplacer tout le temps, il avait peut être tout simplement envie de se poser quelque part. Et si Johnny ne protestait pas, ne proposait même pas de prolonger le voyage, c'est peut être parce que lui aussi avait envie de se poser et de revoir sa mère.

Mais pour le moment Johnny avait le sourire, il était content, il avait fait un beau voyage, il allait retrouver sa mère qu'il n'avait pas vu depuis plusieurs mois, il allait retrouver sa maison et surtout son pote Brice allait rester. En plus ils repartiraient de nouveau en voyage tous les deux … C'était une promesse.

Ils décidaient de ne pas s'arrêter ou alors le moins possible mais il fallait toutefois faire le plein de la voiture. Brice était allé faire le plein de nourriture et de boisson pendant que Johnny faisait le plein de la voiture. Une jeune femme l'abordait. Juste derrière elle il y avait une autre jeune fille qui lui ressemblait.

– Excusez mois, mais vous aller vers l'Est ?
– Oui mais nous on ne va pas jusque que là, on ne traverse pas le désert .
– Avec ma sœur on va sur la côte Est, vous pourriez peut être nous avancer un peu.

Johnny regardait la jeune femme il lui rendait son sourire, Brice arrivait.

– Dis moi Brice , il y a les deux petites demoiselles qui voudraient aller sur la côte Est, tu en dis quoi.
– C'est une mauvaise idée, j'y était et c'est nul !
– Faites pas attention les filles, il a mal dormi cette nuit …

Elles répondaient par un sourire embarrassé, mais pas plus d'un quart d'heure plus tard, elles étaient installées aux places arrières et faisaient connaissance avec nos deux grands voyageurs.

Le soir, Brice et Johnny se jetaient un regard. On devinait à quoi ils pensaient mais ils ne sont pas du genre à profiter de la situation, enfin, pas du genre à r de la situation, sauf bien sûr si on le leur proposait … Ils décidaient donc de monter la tente, deux places, matelas gonflable … Eux s'installeraient dans la voiture.

La nuit devenait fraîche, ils s'éloignaient de la côte, il remontaient vers le nord et l'été prenait fin … Les nuits devenaient plus fraîche...

A peine installés dans la voiture, on frappait à la vitre. Johnny ouvrait c'était Lisa une des filles qui les accompagnaient désormais.

– Dis Johnny, tu pourrais venir voir, s'il te plaît ?

Johnny ne comprenait pas mais ne posait de questions il sortait de la voiture, pendant que Lisa l'entraînait dans la tente. Brice entendait frapper à la vitre. Brice ouvrait. C'était Lana la sœur d'Lisa.

– Il faudrait que je te montre quelque chose Brice …

Brice suivait lui aussi sans poser de questions. Elle l'entraînait dans la tente.

– C'est qu'il fait froid dans la tente, ma sœur et moi on avait besoin d'une bouillotte. Disait Lana.
– Enfin un truc qui nous tiendrait chaud …
– Un truc ? ! Répétait Brice en regardant Johnny.
– Remarque moi je suis partant ! Continuait Brice. Être un truc qui tient au chaud, ça ne me dérange pas …

Lana et Lisa ne savaient pas trop comment prendre la réponse. Il était vexé ou il plaisantait. Mais quand Brice s'est approché lentement de Lana, l'à prise dans ses bras, avec une telle douceur … Elle a compris que en effet, ça ne le dérangerait pas de la tenir au chaud.

Ni Lisa ni Lana n'avaient plus froid, elles ont fondu même. Chacune est longuement restée dans les bras d'un des garçons avant de passer aux bras de l'autre garçon. Elles semblaient les goûter, les essayer, les tester.

Un court moment Brice s'est demandé si elles n'étaient pas largement aussi libres, sexuellement libres qu'ils ne l'étaient puis il ne se posait plus de question. Il s'est laissé allé et à fait comme elles. Rapidement il ne faisait plus froid mais plus froid du tout sous la tente, il faisait chaud même, très chaud. Les corps se frottaient les uns aux autres, dans toutes les combinaisons possibles.

Brice et Johnny étaient amusés de voir les deux filles se toucher, se caresser, les deux filles étaient impressionnées de voir les deux garçons en faire de même. Mais nos deux lascars en restaient pour le moment à des câlins et à des baisers, ils se sont bien un peu sucer mais pas plus.

Au matin les quatre corps étaient mélangés, ils se réveillaient les uns après les autres, se faisaient un câlin puis rapidement démontaient la tente pour repartir et surtout trouver un bar ou ils pourraient prendre un petit déjeuner.


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